Hier, nous sommes allés au chalet – en semaine, eh oui !
– pour attendre le plombier. Il venait remplacer notre chauffe-eau. Chaque
année depuis trois ans, quand vient le temps de redémarrer la pompe à eau, il y
a quelque chose qui fait défaut. La première année, pas de problème. La
deuxième, la pompe ne marchait plus… Alors on l’a fait remplacer. La troisième,
le moteur de la pompe était défectueux… alors on l’a fait remplacer. Ce qui est
bien bizarre, c’est qu’on a quand même dû payer les services du plombier… et
attendre environ trois mois avant le remboursement du moteur… Je me dis d’ailleurs
que c’est quelque chose que j’aurais dû régler et vérifier sur le coup, car je
ressens encore une frustration quand j’y pense. J’aurais dû appeler les
assurances de la pompe et m’assurer qu’ils ne remboursaient effectivement pas
les heures du plombier.
Mais bon, hier, c’était le chauffe-eau. Une vis a lâché
quand l’Homme a redémarré le tout, il y a deux semaines. Encore là ! Quand
vient le moment où l’on branche le système au printemps, c’est la grande fête !
En tout cas, pour moi. De l’eau courante ! Plus besoin d’aller chercher
des seaux d’eau dans le lac pour faire la vaisselle ou encore tirer la chasse d’eau…
Mais cette fois-là, j’ai dû me dire que je devrais encore attendre un peu pour
un peu de luxe.
Pour en revenir à hier, on a attendu une bonne partie de la
journée, car la dame qui répond au téléphone ne pouvait pas nous fixer une
heure précise. Ensuite, elle nous a dit qu’on devait payer comme chez Warlmart :
le travail est fait, «tchic-tchic» la carte de crédit. Je me demande encore si
j’ai bien fait… mais bon, comme je ne sais pas ce que la pompe nous réserve l’an
prochain, j’aimais mieux ne pas me la mettre à dos…
J’ai aussi de très belles photos de mes plants de cassis et
de groseilliers, qui poussent à merveille. Même les boutures que j’ai plantées
l’automne dernier sont tout en feuilles et quelques-unes en fleurs… Des photos
seront publiées dans un prochain billet.